L'histoire sans fin...

Alors le principe est simple, vous poursuivez cette histoire, une phrase èa la fois. Je commence!




Il était une fois uun beau petit poney isabelle nommé JAZZ.

Malheureusement ce poney était à vendre...

Car sa propriétaire ne pouvait plus s'en occuper et payer ses soins (et tout ce qui va avec)

Une fille du nom Pierrette-Lucette (trop riche et trop gâter) le vit et voulu l'acheter

Pierrette-Lucette était folle d'un gars et elle lui accordait plus de temps qu'à son chers Jazzou.

Une fille folle des chevaux venait à l'écurie tout les jours avec ses amies Fruitopia et Elfe (nous allons les appéler Anne alias Fruitopia et Chloé alias Elfe). Cette fille s'appellait Geneviève et elle décida de s'occuper un peu du pauvre Jazz qu'elle aimait tant...


(Déoslé pour les noms je les ai pris au hasard si tu as un meilleur idée elfe...)

(Euh non j'ai pas d'autres idée... mais c'est pas grave )

Mais un jour

(allez je vous laisse inventer la suite:P )

Mais un jour en entrant dans l'écurie, elle vit Pierrette-Lucette avec la propritaire dans le bureau. Elle allait visiblement acheter Jazz. Mais que faire? Elle sortit dehors en pleurant, accourant vers le poney de ses rêves. (Pardonnez-moi j'étais en feu! )

Le temps s'écoulait et blottit dans l'encolure de son meilleur ami, elle ne vit pas arrivé Pierrette-Lucette qui voulait essayer ce poney...

Malgré ses pleurs, Pierrette-Lucette ne voulut pas laisser passer plus de temps (soi-disant elle été préssée). Donc la propriétaire l'écartat et lui demanda d'aller faire un tour dans les écuries...

Geneviève rentra en claquant la porte. Soudain une idée ilumina son visage...

Et si elle mettait de l'argent de côté pour acheter Jazz ?!!!!
satisfait de cette super idée, elle resortit à l'extérieur...

Ravie elle sortit regarder Pierrette-Lucette progresser avec Jazz

mais elle découvrit très vite que le cheval n'était pas à l'aise et ne marchait pas correctement.
Geneviève se dit que cette Pierrette-Lucette ne savait pas monter un cheval correctement... et ca lui rabaissa le moral ...

Mais un sourire rejaillit sur ses lèvres au moment ou cette snob partit au galop : Jazz envoya un coup de cul et les belles bottes neuves et cirées de l'arogante poupoune devinrent couvertent de poussière. Elle dit :

- Bien, mon palfrenier (aucune idée comment ça s'écrit) redressera cet animal !

Et ce fut tout, après elle alla parler d'argent avec la proprio dans le bureau.

Geneviève alla aussitôt chercher une vieille salopette dans le club house. Elle mis des lunettes fumées, pris une fourche et fis mine de nettoyer les boxes. Elle se ferait passer pour le palfrenier de l'écurie. comme ça elle pourrait dresser le beau ti poney de ses rêves!

Après un intreminable moment Pierrette-Lucette et la proprio sortir du bureau l'air satisfait, Pierrette-Lucette apposrtopha Geneviève :
-

-Et toi las-bas !! Va t'occuper de mon cheval !!! et surtout dresse le bien !! Il a un sale caractère !!
je veu qu'il m'obéisse au doigt et à l'oeil !! compris ??
-Oui oui, répondit Geneviève tout sourire
-Et au pas de course !!

Et Pierrette-Lucette s'en alla, laissant Geneviève seul. Cette dernière se dépécha de rejoindre son cheval adoré...

-Oh, Jazz! Je t'aime tellement! Viens avec moi...

Elle entra dans le paddock, aux cotés de son ami, et dessera la sangle mal placée qui blessait encore les flancs du poney. Visiblement, Pierrette Lucette a BEAUCOUP de chose à apprendre tel que:
1. comment et où placer un sangle
2. Que le mors, ça ne vas pas entre les deux oreilles
3. Que la martingale n'est pas faite pour protéger les sabots...

-Vraiment, elle ne sait pas se débrouiller, pensa t'elle.

Puis après avoir tout remis correctement et une dernière vérification, elle se hissa en selle.

Jazz tout content commença à trottiner dans le paddock

Soudain, Pierrette Lucette sortit en trombe du batiment.
Elle se dirigea vers Geneviève et Jazz. Ce dernier, surpris, se cabra.
Pierrette Lucette dit:
-

-Rhooooo! Je t'ai fait peur? Qu'importe! Je venais juste te porter tes éperons à roulettes, c'est mon père, Georges W. Mush, qui m'a ordoné de te les faire portés.

Geneviève fit semblant de ne pas l'avoir enttendue et lança Jazz au galop comme si celui-ci prenait le mord aux dents.

-Tu n'obéis pas au président des États-Munis, M. Georges W. Mush? Tu cherches vraiment les enuits!